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Pré en bulle butte sur épicène

Plusieurs usagèr-e-s de l’association genevoise  Préenbulle expriment leur agacement face au discours excluant et discriminant pratiqué par les responsables. Dernier dérapage en date, le flyer Fais ton film- Le quartier dont tu es le héros. Le langage épicène et l’égalité ne seraient-ils pas passés par Pré en bulle qui semble vivre … dans sa bulle ?

Cela les choque. Pour ces habitant-e-s des Grottes, c’était comme si les actvités proposées ne s’adressaient qu’aux garçons. « En famille, au boulot, en classe, entre potes, dans votre asso. Réalisez un film sur le thème : Le quartier dont tu es le héros ». Si ces usagèr-e-s saluent l’idée d’animation en soi, ils déplorent l’utilisation systématique du masculin universel dans la rédaction de ce flyer. Natacha Rault, mère d’un garçon et d’une fille estime que « le “héros” mentionné est une figure masculine socialement construite et  imposée  dans laquelle les personnes ayant d’autres identités de genre peuvent ne pas se retrouver ». Même son de cloche pour Marie* qui s’insurge contre « le caractère excluant de la communication de l’association ». Car ce flyer n’est que la pointe de l’iceberg.

En cause, c’est bien l’ensemble du site, la charte, la moindre annonce ou flyer qui pèchent par l’absence de référence au genre féminin. Et ces habitant-e-s contestataires signalent ces manquements depuis des années déjà comme en témoignent les différents courriers qu’ils/elles ont adressés aux responsables de Pré en bulle. Les réponses sont parfois aimables et positives. A d’autres, on envoie des liens vers Homme Libre (blog masculiniste de la Tribune, ndlr) et on assure que « malgré ces quelques faiblesses sémantiques dans notre charte,  dans la pratique de pré en bulle et dans les faits,  des  efforts « notoires » sont faits sur le sujet de l’égalité HF ». Et ces usagèr-e-s qui revendiquent l’égalité sont vu-e-s comme agressifs/ives. De son côté, Pré en bulle est (auto)satisfait de ses pratiques. Du coup, rien ne change.

Pourtant, le principe d’égalité, inscrit dans la Constitution depuis le 14 juin 1981, est activement défendu par la Ville de Genève. Les campagnes de sensibilisation lancées depuis 2008 par Sandrine Salerno et coordonnées par le Service Agenda 21 ne peuvent avoir échappé aux responsables de Pré en bulle. Affichage, ateliers, d’importants moyens ont été mis à disposition du public pour se familiariser et maîtriser le langage épicène. Alors qu’en conclure ? Manque d’envie, mauvaise volonté, ignorance? Au final, inclure les filles ne serait pas si important ?

Concernant la communication spécifique du flyer, l’équipe de Pré en bulle reconnait que « la formulation n'est pas très heureuse et tâchera de trouver des mots plus incluants à l'avenir ». Les responsables se justifient en expliquant que «  la phrase « dont vous êtes le héros » est une formule toute faite qui renvoie à des souvenirs de lecture dans notre enfance et les fameux « livres dont vous êtes le héros » ». Sur le reste de la communication, ils/elles essaient
« d'être le plus inclusifs possible ».

Comme le dit Natacha Rault « en tant que contribuable payant des impôts et à ce titre contribuant indirectement au financement de (vos) activités », les habitant-e-s du quartier sont en droit d’attendre un minimum de respect. Car question subvention, Pré en bulle est plutôt bien soutenu par la Ville. En 2014, l’association recevait 180 000 francs à titre de subvention ordinaire plus une rallonge de 26 000 francs. Concernant les subventions non monétaires, la Ville participait aux traitements à hauteur de 278 310 francs. Un minimum de cohérence voudrait que l’association applique les principes défendus par son pourvoyeur de fonds.

Les responsables de l’association affirment pour leur part que leur « mandat est d'œuvrer pour l'ensemble des habitant-e-s du quartier. Dans ce sens, nous portons une attention particulière à la place des femmes ». Et si le discours connaît quelques ratés, l’égalité se pratique au quotidien dixit les animateurs-trices : « le comité de l’association (majoritairement composé de femmes) est également très sensible à cette question et en a fait un objectif prioritaire. Il a aussi toujours essayé d'avoir des équipes d'encadrements mixtes et de mettre en avant les compétences des filles/femmes ». Le problème viendrait finalement d’un manque de formation selon leur diagnostic.  Les responsables de l’association se déclarent donc « ouvert-e-s à toute forme de propositions et suggestions constructives dans le but d'être mieux formé-e-s sur la question ». Ce qui devrait enchanter les habitant-e-s du quartier.

* Prénom fictif

© Capture d'écran extraite de la vidéo promotionnelle de Pré en bulle

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Des femmes devant et derrière la caméra




Pour sa 46e édition, qui a lieu du 17 au 25 avril 2015 à Nyon, le festival documentaire Visions du Réel se targue de faire la part belle aux femmes, avec un nombre record d’œuvres tournées par des réalisatrices et l’émergence d’une forte présence féminine comme sujet de documentaires.

Les femmes sont particulièrement bien représentées à Nyon cette année, que ce soit devant ou derrière la caméra. Ces derniers temps, la disparité entre le taux de réalisateurs et de réalisatrices a fait l’objet d’études aux Etats-Unis comme en France, accompagnés de coups de gueule dans les médias. Celui du collectif féministe La Barbe lors du festival de Cannes 2012 par exemple, lorsqu’aucun des 22 films de la sélection officielle n’était produit par une cinéaste ; celui de Patricia Arquette lors de la cérémonie des Oscars en mars dernier - pour rappel : une seule statuette a été attribuée à une femme dans la catégorie Meilleur réalisateur en 87 ans d’existence.

Les résultats des études font état de 14 à 25% de cinéastes femmes en France, alors que les étudiantes en réalisation à la Femis représentent un bon 40% des effectifs ; aux USA le taux se réduit à un minuscule 5%, cinéma et télévision confondus. Dans ce panorama, le 40% de réalisatrices de Visions du Réel fait donc très bonne figure.

Le nombre de documentaires portant sur une ou plusieurs femmes est aussi en nette augmentation au festival - des femmes d’exception, nous dit-on, comme pour valider cet état de fait. En l’occurrence, l’exception porte davantage sur la quantité et la diversité des portraits féminins, toutes sections confondues. Résilientes, parfois ordinaires, compétitives ou solidaires, la variété des personnalités, des parcours de vies et des styles filmiques compose un panorama de la féminité particulièrement riche et moins convenu qu’à l’habitude.

Dans les portraits de battantes, fortes et singulières que sous-entend la notion de femmes d’exception, le festival propose par exemple Madonna ou la lutte quotidienne de la seule femme chauffeur de bus en Géorgie pour conserver un métier réservé aux hommes et améliorer son lieu de vie. Résilience de trois générations de femmes syriennes dans Coma, survivant au jour le jour dans une ville ravagée par la guerre. Notre héroïne nationale, l’incontournable Ella Maillart, n’est pas en reste dans un portrait qui lie ses parcours intérieur et extérieur en associant les mots de ses carnets de voyage aux photos et aux images tournées sur la route. La lucidité brusque et le franc-parler de la vieille dame en fin de vie du film d’ouverture, Au crépuscule d’une vie, rappelle l’exploratrice suisse. Quand son fils lui explique qu’il fait un documentaire sur elle, la nonagénaire rétorque : « Quand on montre un film, c’est qu’il rapporte… Les émotions, c’est quoi ? ça rapporte. Et on aura une clientèle dont tu peux pas t’imaginer. Ca peut toucher tout le monde. »

Le festival met également en avant d’autres modèles féminins qui cherchent à se réaliser à travers le paraître ou l’expression de leur corps. Impressionnante détermination de fillettes et préadolescentes engagées dans la course à la célébrité sur le modèle américain dans la troublante comédie Next, qui fait état d’une génération dont les valeurs sont complètement investies dans la société de l’image. La compétition et la discipline sont également au coeur de Eismädchen, version patinage artistique, et de Horizontes de la réalisatrice suisse Eileen Hofer, de retour à Nyon avec pour sujet une école de danse classique à Cuba. Wild Women Gentle Beasts nous emmène, à travers les continents, dans le monde des dresseuses d’animaux sauvages, du côté des paillettes de la scène à un envers du décor fait de labeur, de danger, et du sacrifice d’une vie sociale normale.

D’autres films évoquent le rôle de la femme comme tissu social et humain, au delà des différences et des guerres. L’univers féminin transgénérationnel languide du clan matriarcal un peu post-soixante-huitard de Nosotras/Ellas, dont les hommes semblent quasiment absents, forme un patchwork multicolore et résistant qui puise sa force dans le groupe et dans chacun de ses membres. Dans Women in Sink, femmes arabes et juives coexistent harmonieusement et philosophent ensemble le temps d’un shampoing dans un salon de coiffure tenu par une arabe chrétienne en Israël. Le percutant Grozny Blues nous emporte en Tchétchénie à la suite d’un groupe de femmes artistes qui se battent pour les droits humains et la liberté d’expression. Dans le magnifique Madres de los dioses, construit comme un récit mythologique, des femmes de foi différentes s’allient pour ériger un temple œcuménique en Patagonie. Ces films rappellent que dans un monde où les hommes ne cessent de se faire la guerre, les femmes sont souvent celles qui savent se regrouper dans un esprit de solidarité, d’entente et de paix.



En multipliant les portraits de femmes, Visions du Réel enrichit ainsi la vision que l’on peut avoir de la variété des parcours de vie de femme et la multiplicité des féminins possibles. En attirant l’attention sur l’inégalité de traitement liée au genre dans le milieu du cinéma documentaire, le festival se positionne face à une problématique d’actualité et empêche sa banalisation. Il reste cependant encore beaucoup de chemin à faire, en révisant par exemple le taux de réalisatrices dans les fameux ateliers du festival. En effet, au cours des dix dernières années, seules trois MasterClass sur une vingtaine ont été données par des femmes. S’il est évident qu’un changement en profondeur prend du temps, il est indispensable de rester vigilant par rapport à ces inégalités de traitement, de continuer à chercher et promouvoir des films faits par des femmes et sur les femmes, et de poursuivre la belle lancée entamée cette année.

Photo 1, © Wild women, gentle beasts

Photo 2, © Mothers of the gods

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PMA pour toutes!

Alors qu’en France, SOS Homophobie s’apprête à lancer une action d’envergure pour rappeler au président Hollande ses engagements auprès des femmes qui veulent bénéficier de la procréation médicalement assistée (PMA), les lignes commencent à bouger en Suisse avec la perspective d’un changement dans le code civil qui ouvrirait le mariage à tous les couples permettant notamment le même accès à la procréation médicalement assistée, l’adoption conjointe ou la filiation automatique. Si aujourd’hui, la PMA reste toujours un parcours de combattantes, y a-t-il néanmoins des raisons d’espérer ?

Le 27 avril prochain, SOS Homophobie organise à Paris un «Jeu de Loi» grandeur nature «pour montrer qu'un parcours PMA à l’étranger est réellement un parcours de combattante-s avec toutes les difficultés existantes pour arriver à la fin» comme l’explique Victoria L. Petitjean, membre du groupe Relations Institutionnelles (GRI) et de la Commission Lesbophobie. En Europe, toutes les femmes ne sont pas égales en matière d’accès aux méthodes de PMA : réservée aux couples hétérosexuels en Suisse, en France, en Allemagne, en Italie, elle est autorisée aux couples de lesbiennes en Espagne, en Belgique, au Royaume-Uni, au Danemark ou encore aux Pays-Bas. En Suisse, l’article 28 de la LPART est très clair : les personnes liées par un partenariat enregistré ne sont pas autorisées à recourir à la procréation médicalement assistée sur sol suisse. Quant au don de sperme, il est réservé aux couples mariés et donc interdit aux concubin-e-s et aux personnes seules.

Ce qui signifie pour les femmes qui veulent avoir un enfant par PMA aller à l’étranger dans un pays qui l’autorise. Cela peut prendre des années avant de pouvoir fonder leur famille, avec d’importantes conséquences financières. Dans la plupart des cliniques belges par exemple, au terme de 6 IAD (Insémination Artificielle avec Don de sperme), les femmes passent à la FIV (Fécondation in vitro), beaucoup plus chère. Entre les frais annexes (trajets, logement, traitements, honoraires des médecins…) et les actes médicaux en eux-mêmes, il faut compter jusqu’à 40 000 euros. D’où le recours à l’insémination artisanale dans de nombreux cas avec les risques sanitaires que cela comporte, ce que dénonce Victoria L. Petitjean qui juge que «le Président et son gouvernement jouent avec la santé des femmes». Même son de cloche côté suisse. Chatty Ecoffey, co-présidente de l’association faîtière Familles arc-en-ciel, estime que «ces pratiques de contournement ne sont pas satisfaisantes et conduisent à des situations complexes et juridiquement incertaines. L’incertitude juridique perdure parfois des années durant sur l’identité des parents légaux». Ce qui est pourtant contraire aux garanties prévues par l’article 7 de la Convention des Nations-Unies relative aux droits de l’enfant, en vertu de laquelle un enfant a le droit d’être enregistré dès sa naissance et a aussitôt droit à un nom, ainsi que le droit d’acquérir une nationalité.

Chatty Ecoffey se montre néanmoins confiante. Pour elle, «l’évolution de la perception des familles arc-en-ciel par l’opinion publique en Suisse est favorable», s’appuyant sur un sondage de 2010 qui «indique que 86,3 % des personnes interrogées estiment que les enfants qui vivent dans des familles ayant à leur tête des partenaires homosexuels devraient bénéficier des mêmes conditions juridiques que les enfants d'autres familles». Pour la Française Victoria L. Petitjean, «la loi sur le mariage pour tou-te-s a enfin reconnu une existence légale aux familles homoparentales. Elle est censée permettre, notamment, à la mère non-biologique d’adopter les enfants de sa conjointe. De protéger leurs enfants». Il s’agit maintenant d’aller au bout de la démarche comme l’a promis le candidat Hollande qui déclarait en 2012 : «Une femme doit pouvoir recourir à l’assistance médicale à la procréation, soit parce qu’elle ne peut pas avoir d’enfant, soit parce qu’elle ne souhaite pas avoir une relation avec un homme».

Que ce soit en France ou en Suisse, les associations mettent la pression sur les gouvernements et surtout mettent le législateur face à ses responsabilités : la PMA doit être ouverte à tous les couples de façon légale et égale. Chatty Ecoffey cite la Commission nationale d’éthique dans le domaine de la médecine humaine (CNE-NEK) qui critiquait en février 2013 «l’exclusion des couples de même sexe de la PMA : il n’est pas «clair» pour elle pourquoi, «dans l’intérêt de l’enfant», seuls les couples hétérosexuels peuvent accéder aux méthodes de PMA. Elle y voit au contraire l’expression de préjugés qui ne reposent sur aucune évidence. Les couples de même sexe peuvent assumer ensemble la responsabilité parentale de l’enfant, alors même qu’ils ne peuvent pas l’engendrer «naturellement», c’est-à-dire sans l’intervention de tiers». Le combat continue.

Photo DR


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